Partiels, baccalauréat… ne négligez pas votre préparation mentale aux examens !

Apprendre devrait être un plaisir et une richesse et non une source de peur ou d’ennuie…

L’échéance du baccalauréat … cérémonie d’ouverture d’une succession de partiel pour ceux qui entreprendront des études supérieures !

C’est ensuite deux fois par an que les fameux partiels deviendront incontournables, sésame de l’année supérieur et de l’avenir professionnel. Autant dire que l’enjeu est là, et la pression qui va avec aussi ! Mais cette pression justement, comment l’utiliser pour en faire un atout plus qu’un handicap synonyme de perte de moyen ?

C’est ce que je vous propose d’explorer à travers une série d’articles sur la préparation mentale aux examens.

Une préparation mentale aux examens : est-ce vraiment nécessaire ?

À connaissance égale, c’est bien sûr celui qui gère le mieux ses émotions qui aura la plus belle réussite. Les émotions conditionnent notre efficacité et lorsqu’elles ne sont pas gérées, elles peuvent être limitantes.

Concentrer ses efforts autour de quelques journées de partiels lors desquelles ce joue l’année suivante mérite bien sûr de s’accorder une préparation mentale qui vous apportera :

– une meilleure gestion du stress

– de meilleures conditions pour apprendre

– une motivation plus naturelle

– davantage d’énergie

désactiver les peurs

Les trois phases de la préparation aux examens

– entretenir la motivation dans les révisions

Rien ne sert de se préparer à gérer le stress si vous n’avez pas réussi à mener des révisions efficaces !

En amont, il est donc naturel de travailler sur l’organisation des révisions, en abordant la motivation, la concentration et si nécessaire la procrastination… vous savez cette petite voix qui vous pousse à remettre les choses au lendemain ! Désamorcer tout ce qui peut faire obstacle à l’efficacité des révisions est essentiel pour gagner du temps.

– La concentration et les difficultés d’apprentissage

La concentration s’acquiert et sur de longues plages de travail il est très utile d’apprendre son fonctionnement. Au bout de quelque temps la concentration s’essouffle et c’est normal. Pourtant, des exercices à la portée de tous peuvent vous permettre de vous ressourcer et de retrouver un esprit ouvert à l’apprentissage.
Il est d’ailleurs important d’aborder également les difficultés d’apprentissage, car elles proviennent parfois de blocages inconscients.

– gérer la peur des examens

Ensuite bien sûr vient la gestion des émotions, elle conditionne en partie la performance. Se laisser perturber par des pensées négatives peut faire perdre ses moyens et du temps précieux le jour « j ». Pourtant, des exercices tout à fait accessibles permettent de canaliser les pensées et de choisir celle qui nous sont utiles.

Enfin si des peurs plus profondes, telles que la peur de l’échec et parfois même de la réussite, existent, il est important de les désamorcer en amont pour éviter le phénomène de l’auto-sabotage.

Et si le stress à petite dose est un moteur nécessaire pour trouver l’énergie de mener des révisions efficaces, le mal-être pendant l’apprentissage et les examens lui n’est pas normal !

 

Et l’hypnose dans tout ça ?

Mais oui l’hypnose dans tout ça ? Que ce soit pour travailler sur la motivation, la concentration, la confiance en soi ou pour lever des blocages l’hypnose est une aide précieuse. D’autant plus si votre hypnothérapeute vous donne des astuces, des petits exercices d’autohypnose pour vous permettre d’être autonome ! Apprendre devrait être un plaisir et une richesse et non une source de peur ou d’ennuie…

En attendant la fameuse période des partiels je vous propose de retrouver sur ce blog des astuces et des conseils pour vous préparer au mieux.

Et si vous souhaitez faire un travail plus profond et bénéficier d’un accompagnement personnel, n’hésitez pas à me contacter par mail : boutrymarielaure@gmail.com, ou par téléphone : 07 69 67 48 58.

 

 

Hypnose et douleur chronique : mobiliser toutes ses ressources pour agir sur la douleur

Hypnose à grenoble et douleur chronique

 

IMPORTANT : avant toute chose, n’oublions pas que la douleur a un véritable sens en tant que signal, son utilité doit être respectée. Par ailleurs, la pratique de l’hypnose ne se substitue en aucun cas à la pratique de la médecine. Toute pathologie relevant de la médecine doit faire l’objet d’un suivi médical.

Hypnose et douleur chronique…

… hypnose et douleur chronique : un vaste sujet qui pour être bien présenté nécessite de s’attarder un peu sur la notion de douleur. La douleur, nous la connaissons tous, mais savons-nous réellement comment elle fonctionne ?

– Qu’est-ce que la douleur ? Et qu’est-ce qu’une douleur chronique ?

L’expérience de la douleur est subjective, ce n’est pas qu’une perturbation physique. Elle peut être aigüe, lorsqu’elle signale un dysfonctionnement, par exemple lors d’une brûlure. Elle peut aussi être chronique lorsque :

  • elle est persistante

  • elle dure davantage que ce qui est habituel eu égard au symptôme.

  • elle ne répond pas au traitement

  • elle détériore la qualité de vie

Au-delà de trois à six mois, une douleur rebelle n’a plus sa fonction de signal, elle devient une entrave à la vie de la personne, affectant ses comportements.

Avant un travail sur une douleur chronique un suivi médical approfondi doit avoir été réalisé. La pratique de l’hypnose est complémentaire et trouve sa place lorsque les antalgiques ne fonctionnement pas ou qu’une prise trop répétée pourrait causer une accoutumance, ou des effets secondaires indésirables.

Si vous avez cinq minutes, je vous propose de regarder ce court métrage très bien réalisé autour de la douleur dite chronique et des solutions qui peuvent y être apportées.

– La perception douloureuse

La douleur n’est pas qu’une sensation, elle est également reliée aux émotions qui lui sont associées et qui agissent sur sa perception. C’est ainsi que le ressenti d’une douleur émanant du même symptôme peut varier en fonction de la personne, des pensées et du contexte.

La perception douloureuse est également un apprentissage qui dépend de nos expériences, de notre culture. L’hypnose peut alors être utile pour se déconditionner de cet apprentissage. Elle présente l’avantage de rendre la personne active dans son vécut de la douleur, enlevant ainsi l’impression de la subir.

– Hypnose et douleur chronique : comment ça se passe ?

L’état d’hypnose permet à la personne douloureuse de modifier son ressentit. En séance, il est ainsi possible de modifier les sensations perçues dans le corps grâce à l’imaginaire.

L’imaginaire peut également nous éloigner des perceptions sensorielles du corps. C’est ce qui se produit lorsque devant un bon film vous en oubliez le mal de tête. En cabinet expérimenter l’état d’hypnose permet à la personne de réaliser qu’elle peut se sentir confortable, en se replongeant par exemple dans un souvenir particulièrement agréable. De nombreuses techniques existent telles que la substitution de sensation, l’engourdissement par le froid, le déplacement de la douleur… de sorte que chaque personne peut explorer ce qui est le plus efficace chez elle.

Si vous souffrez de douleurs chroniques, ne vous résignez pas. En quelques séances, il est possible de se réapproprier ses sensations au lieu de continuer à les subir.

Pratiquer régulièrement les exercices d’auto hypnose permet de reprendre le contrôle de manière rapide sur la douleur et de gérer les émotions qui y sont associées.

Alors si vous souffrez de douleurs chroniques et avez envie de tester l’hypnose et l’auto-hypnose ?
N’hésitez pas à me contacter au  07 69 67 48 58
, je répondrai volontiers à vos interrogations ou prendre rendez-vous !

Sources bibliographiques :
Vaincre la douleur par l’hypnose et l’autohypnose, Christine CAZARD-FILIETTE , Editeur : VIGOT
L’hypnose thérapeutique.Quatre conférences, Milton H.ERICKSON, Editeur : ESF